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Edmond de Goncourts ‚Juliette Faustin‘ (1881/82), gelesen, aus Nietzsche-Perspektive, als Syphilis- und Schlüsselroman

Christian Niemeyer


Seiten 331 - 342



Dans son roman ‚Juliette Faustin‘ (1881/82), ainsi le propos de la présente étude, Edmond Goncourt essaie, pour une deuxième fois, d’affronter la mort de son frère Jules avec lequel il fonda le légendaire projet du ‚Journal des Goncourts‘ (1851-1896). Après une première tentative d’aborder cet événement dans ‚Les frères Zemganno‘ (1879), la mort de Jules (de Syphilis en 1870) reste pour Edmond une expérience traumatisante. Il faut donc surtout observer la manière dans laquelle cette approche se produit. Passant principalement par le reniement de la maladie vénérienne, elle s’avère profondément révélatrice – pas des moindres pour les recherches sur Nietzsche se mettant en devoir d’éclaircir l’image que Nietzsche s’est faite des frères Goncourt. Enfin, le roman, contre les intentions de son auteur, expose quelques théories subjectives de la maladie qui, à l’avenir, pouvront nous mener à mieux comprendre les pensées de Nietzsche à l’égard de ce sujet.

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