Weiter zum Inhalt
  • «
  • 1
  • »

Die Suche erzielte 3 Treffer.

Familientragödie Beitrag

Die Begründung des modernen Dramas in der Frühen Neuzeit (am Beispiel von Pierre Corneilles ‚Médée‘)

Jörn Steigerwald

Comparatio, Jahrgang 9 (2017), Ausgabe 2, Seite 285 - 304

La tragédie émerge dès sa renaissance dans la première modernité, et surtout au XVIIe siècle, comme une tragédie de famille, qui lie l’objectif de la poétique antique, à savoir les actions d’état et des héros, au concept de la famille voire de la maison. Pierre Corneille établit dans sa version de la ‚Médée‘ ce genre nouveau en France en focalisant sur le problème de l’amour dans la famille, qui oppose l’amour paternel de Jason et l’amour maternel de Médée. Par ce biais, il met en scène au théâtre la transformation de la famille autour de 1600 et reflète la relation entre le genre dramatique et le genre et les actions des personnages. Tragedy emerges since its renaissance in the early modern period, especially in the seventeenthcentury, as a family-tragedy: it combines the demand of antique poetics, i.e. the concentration on great fuss and on heroic deeds, with the concept of family respectively household. Pierre Corneille establishes this new genre in his version of ‚Médée‘ by focusing on the problem of love within the family, opposing the paternal love of Jason and the maternal love of Médée. Thus, he re-enacts on stage the transformation of the family around 1600 and reflects the relation of genre and doing respectively staging gender.


‚L’homme racinien‘: Gattung und Subjekt in Roland Barthes’ ‚Sur Racine‘ Beitrag

Jörn Steigerwald

Comparatio, Jahrgang 8 (2016), Ausgabe 2, Seite 259 - 273

Roland Barthes analyse la relation entre genre et sujet dans son étude ‚Sur Racine‘ en se concentrant sur les acteurs dans le « théâtre de langage » racinien. Il se base sur la différence entre « dire » et « parler » pour mettre en relief la distinction entre le concept historique du théâtre de langage et l’approche contemporain d’un art de déclamation d’un côté. D’autre part, il souligne la position historique de Racine en tant que dernier héritier du théâtre antique qui modélise pour la dernière fois un langage tragique.


  • «
  • 1
  • »