This paper examines the relationship between drama and astronomical and astrological knowledge both on the level of content and theatrical practice. The 17th and 18th centuries’ predilection for historical plays brought a number of protagonists on stage strongly related to astrology and astronomy, such as Tamerlane and Wallenstein. When ancient kings and emperors were transformed into ‘dramatis personae’, also their intentional reference to astronomical phenomena like great conjunctions, comets and zodiacal signs by which rulers sought to inscribe themselves into history, became adapted on stage. Astral ruler cults and other astral symbolism made their appearance on the early modern stage. Stars not only appeared on stage in regular theatrical plays, but also in scientific spectacles. Since these spectacles were performed at the same places where theatrical performances were held, their ways of display celestial objects influenced each other mutually. Classical theatre was only a part of the broad phenomenon of early modern festive culture. In the late 17th century the dramatist Daniel Casper von Lohenstein still considered classical drama as just one element of a wide range of ‘plays’ and ‘ludi’, such as executions, theatres of nature, sports and games.

L’article examine la relation entre les pièces dramatiques et le savoir astronomique et astrologique sur le niveau du contenu ainsi que le pratique théâtral. La préférence pour les drames historiques dans les XVIIe et XVIIIe siècles a introduit des protagonistes associés à l’astronomie et l’astrologie sur la scène, par exemple Tamerlan et Wallenstein. Quand les rois et les empereurs de l’antiquité étaient transformés en ‘dramatis personae’, leur référence aux phénomènes astronomiques comme les grandes conjonctions, les comètes et les signes zodiacaux, par lesquels les régents essaient de s’inscrire dans l’histoire, étaient aussi adapté pour la scène. Des cultes astraux entourant les princes et d’autres symboles astraux apparaissent sur la scène moderne. Des astres non seulement figuraient dans des pièces théâtrales régulières, mais aussi dans des spectacles scientifiques. Puisque que ses spectacles fussent performés dans les mêmes lieus, les manières de présenter les corps célestes s’influençaient mutuellement. Le théâtre classique participe donc d’un phénomène plus ample dans la culture festive de la modernité précoce. Pendant le XVIIe siècle tardif Daniel Casper von Lohenstein considère le théâtre classique comme un composant d’un ample spectre des ‹ jeux › et ‹ ludi ›, comme des exécutions, des théâtres de la nature et des jeux.